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dimanche 30 décembre 2007

Pourquoi le rachat de Doubleclick par Google est aussi paradoxal ?

La Commission Fédérale du Commerce (FTC), américaine, a donné finalement son accord sur l’acquisition de Doubleclick par le Géant des moteurs de recherche « Google ».

Google a, encore, sur son dos les organismes de protection de la vie privée, qui certainement ne souhaiteront pas le laisser s’en tirer indemne. Ils iront jusqu’à déposer plainte contre la FTC.

Cette dernière a pour objectif principal de vérifier que l’acquisition ne menace pas l’environnement concurrentiel de l’industrie publicitaire en ligne.

Son rôle portait sur l’examen de 3 aspects, ayant trait au paysage de la compétitivité à l’intérieur du marché publicitaire en ligne, avant d’attribuer son accord final à Google :

- S’assurer que la fusion n’éliminera pas la compétition entre Google et Doubleclick.

- S’assurer que la fusion n’éliminera pas la compétition dans le secteur e-Pub.

- S’assurer que la pub de type Adsense ne dominera pas les autres programmes publicitaires.

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Attention : les Commentaires ci-dessous sont Personnels

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  • Pour le premier point, la controverse est au rendez-vous.

Naturellement, cette acquisition permettra aux deux firmes de fusionner leurs technologies et leurs bases de données clients.

Incontestablement, si google a décidé d’investir dans la plateforme Doubleclick, c’est pour bénéficier davantage de l’effet de synergie.

Toutefois, on pourra parler de compétition si elles seront gérées d’une manière « autonome ».

Mais, certainement les objectifs et les décisions stratégiques seront alignés. C’est de l’intérêt de Google qu’on parle ici!

Que pouvons nous opposer à Doubleclick, chez google ? Youtube, Adsense, Adwords.

Google domine déjà le marché publicitaire, et le SEO.

Je me rappelle une fois qu’un article traitant de l’évolution des technologies aux services de l’affiliation web insinuait que quelque soit l’évolution de la technologie, les e-marketeurs doivent opter pour des technologies que Google aime bien.

  • Deuxièmement, il y a Yahoo et Microsoft qui défendent toujours leurs positions, face à Google, en tant que moteurs de recherche et en tant qu’acteurs de la publicité en ligne. Ainsi, par les mêmes tactiques : les acquisitions.
  • Sur le troisième point, il faut dire que même si l’Adsense a envahi la pub vidéo, il reste toujours de la place à l’innovation et à la créativité en termes de programmes ou formats publicitaires, tels que les widgets. Le web 2.0 est prometteur.

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Attention : les Commentaires ci-dessus sont Personnels

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La décision de la FTC n’a pas enchanté les lobbies de la protection de la vie privée.

Que Google s’allie à Doubleclick, signifie que celui-ci mettra la main sur la « base d’intention » (les données sur le comportement du consommateur en ligne).

Le problème de la protection de la vie privée n’est pas nouveau pour la pub en ligne. C’est un écueil qui existe bien avant cet évènement.

Le fait que le premier souci de la FTC est de ne pas perturber l’environnement concurrentiel de la publicité sur internet, ne la désengage pas de garder un œil sur la vie privée des cyberconsommateurs.

La FTC doit trouver un compromis entre le recueil des données clients, pour l’optimisation de la pub en ligne et le ciblage contextuel ou comportemental, et la protection de ces données.

Pamela Jones ( conteste la décision de La FTC) assène que c’est le seul organisme qui en est capable de trancher, dans une telle conjoncture :





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Le duel acquisition Google vs Yahoo.


L'affiliation à la manière de Google: "Des Pubs insérées sur les vidéos YouTube."

vendredi 14 décembre 2007

Voilà comment une campagne au lead pourra déraper !










Ce que moi j’appelle GR (Gestion du Risque) est indispensable dans l’affiliation web. Car dans ce domaine, un petit faux pas pourrait vous coûter les yeux de la tête.

Ce qui suit est une histoire vraie…

Une entreprise qui a voulu promouvoir son logiciel, destiné aux industries d’emballage et agroalimentaire pour optimiser la planification de leur livraison, a lançé une campagne de génération de leads (prospects).
Le programme prévoyait une incentive consistant à donner un « podomèter » (instrument pour mesurer le nombre de pas tout au long d’une distance parcourue) à chaque prospect remplissant un formulaire.

La responsable du programme a été éblouie par le nombre important de demandes d’information, ce qui est suspect.
Il s’est avéré que même le B2C a tiré profit de l’incentive. Ce sont des chasseurs d’opportunités gratuites qui s’inscrivent, en éloignant la campagne de sa cible (les industriels).
Comment y remédier ? 7 étapes ont été envisagées.

Etape 1 : Examiner les leads

La responsable du programme a prévu 200 leads qualifiés. Or, il y a eu des milliers de formulaires remplis.

« Ne vous emballez pas si votre campagne génère beaucoup de leads ».
Donc, il y a certainement quelque chose qui cloche.

En vérifiant ces leads, elle remarque que les adresses e-mails correspondent à des adresses personnelles : Yahoo, Hotmail, MSN, AOL. Seulement une poignée d’e-mails professionnels a été enregistrée.

Un autre constat intriguant est que les enregistrements s’écoulent à des heures hors travail : trop tôt le matin ou trop tard le soir.

Etape 2 : arrêter l’enregistrement pour quelques jours d’investigation.

Etape 3 : vérifier que les faux e-mails ne sont pas issus de spamming

L’entreprise a renforcé sa liste de prospects par une liste louée. La responsable s’est retournée vers son prestataire pour résoudre le problème.

Avec sa collaboration, elle a vérifié le nombre de bounces de la note automatique de remerciement. Chaque inscrit reçoit une note de remerciement après la validation du formulaire. Si le nombre des notes non parvenues est très haut, alors la brèche est causée par un programme de spamming.

Le nombre retenu était infime donc les adresses collectées sont bien légales, mais restent toujours non qualifiées.

Pour se prémunir contre les robots de spamming, ajoutez un « CAPTCHA » (Completely Automated Public Turing Test to Tell Computers and Humans Apart) , c’est le code que l’internaute doit taper dans le formulaire d’inscription. Ce code ne peut être vu qu’à l’œil nu, afin de différencier d’une manière automatisée un utilisateur humain d’un robot ou ordinateur.





« Cher affilieur les petits détails peuvent faire toute la différence. Il ne faut pas les négliger. »

Etape 4 : Demander des adresses e-mails professionnelles

Cette étape n’arrêtera pas le flux d’e-mails douteux, mais réduit le nombre d’e-mails non qualifiés.

Vous pouvez configurer votre formulaire de manière à accepter que les e-mails pro, et mettez en place un message d’erreur notifiant l’internaute s’il introduit une adresse perso.

Etape 5 : Demander aux contacts où est ce qu’ils ont vu l’offre

C’est la démarche qui a été entreprise par la responsable de la campagne. L’une des inscrits lui a répondu qu’elle a vu l’offre sur un forum dédié à des échantillons gratuits.

Etape 6 : Demander aux webmasters dont le site est à vocation B2C d’enlever le lien qui pointe vers la « landing page » (page d’atterrissage)

Grâce à l’indication précédente, la responsable a épluché les sites de produits gratuits et des forums, elle a découvert plusieurs qui pointent vers sa page cible.

Etape 7 : Nettoyer la base

Maintenant que votre investigation est close, supprimez les e-mails non qualifiés et vérifiez la qualification des e-mails que vous jugez « bons ».


Quelques conseils : Lorsque vous lancez un programme au lead

  • Utilisez le CAPTCHA.
  • Utilisez une landing page pour chaque canal de communication (e-mailing, bannières, etc.). En cas de problème, vous saurez quel canal est générateur de trafic non qualifié.
  • Attention aux listes louées vous ne savez pas à qui vous avez affaire.
  • Attention aux actions d’incentive, testez-les avant qu’ils prennent de l’ampleur, dans un sens que vous n’aimeriez pas certainement. Si le « podomètre » a eu du succès auprès des particuliers, le résultat n’est pas immédiatement perçu dans le cas du B2B.

Un faux pas pourra vous coûter un temps fou pour réparer les dommages. Et le temps, cher annonceur, est de l’argent.
Alors, avant le lancement de votre campagne pensez à la GR. Essayez d’anticiper les risques qui peuvent en découler, c’est la meilleure façon d’y remédier.

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Source : http://www.marketingsherpa.com/article.html?ident=30238

mardi 6 novembre 2007

Xtra Affiliation : une affirmation de compétences " Affiliés et Affilieurs, intérêts communs et une vision objective."


Une plateforme de marketing à la performance vient d'être lancée par la société A2WM spécialiste en webmarketing, depuis 8 ans.

Sous le nom Xtra Affiliation, la société a commencé à fournir ses prestations d'affiliation le 01/10/07. Aujourd'hui la plateforme compte 18 affilieurs et 92 affiliés.

La plateforme Xtra Affiliation se distingue par son ergonomie et sa facilité d'utilisation.
Aussi, la société A2WM mise sur la relation client : l'assistance et l'accompagnement de ses partenaires dans leur stratégie d'affiliation, et ce 24 h/24 et 7j/7.
"La satisfaction client est notre centre d'intérêt, c'est notre culture d'entreprise. Parce que chaque client représente pour nous un partenaire", assène Mr Abdellatif Directeur Général d'A2WM.

La plateforme permet aux annonceurs de créer des programmes avec des rémunérations au coût par mille (CPM), coût par clic (CPC), au formulaire (lead) et à la vente (fixe ou pourcentage). Elle supporte divers formats publicitaires : texte, template texte, Flash, HTML, bannière,pop up, pop under et catalogue produits CSV.
Le tracking et le reporting sont en temps réel. Les rapports peuvent être imprimés ou exportés en format CSV. Ils sont présentés sous forme de tableaux ou de graphiques, quotidiennement ou sur une période donnée.

Ce qui est très intéressant avec la solution xtra-affiliation, c'est qu'elle permet aux affilieurs un ciblage géographique , c'est à dire que les commissions ne sont versées que si l'acte émane d'un visiteur originaire de la zone spécifiée dans le programme de l'affilieur.
"Notre principe est totalement basé sur la performance", encore confie le DG d'A2WM.
Les affilieurs paient leurs affiliés à l'acte, ça sera de même pour Xtra Affiliation : La plateforme ne prélèvera des commissions sur les gains des affiliés que s'il y ait des transactions effectivement accomplies par le biais du site éditeur.
Pour mettre terme aux fraudes, l'affilieur pourra choisir l'option de blocage IP afin de bloquer les commissions pour des clics provenant d'une même adresse IP. Aussi, pour les ventes qui ont le même "order ID", elles peuvent être bloquées en désactivant le cookie pour une durée que l'affilieur déterminera à sa guise.

Pour les affiliés, l'interface est très conviviale et facile à manipuler. Aussi, les rapports sont affichés en temps réel et peuvent être exportés en CSV ou imprimés.
Une application "rotator" permet aux affiliés d'adhérer à plusieurs programmes à la fois et de générer des bannières rotatives, sera bientôt fonctionnelle sur la plateforme.
Les affiliés peuvent être des personnes morales ou physiques (site personnel, blog).
Le seuil minimum à atteindre est 100 euros, et les gains seront perçus 30 jours fin du mois suivant.

"Que ce soit pour les affiliés ou les affilieurs, nos partenaires trouvent ce dont ils ont besoin sur notre plateforme", réplique le DG d'A2WM.

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Manuel d'utilisation pour affilié Xtra Affiliation

Manuel d'utilisation pour affilieur Xtra affiliation

Annuaire programmes

Un autre produit MLM chez A2WM : Prescri WIN




jeudi 1 novembre 2007

Quelle est la relation entre le nombre d'affiliés et la santé de votre programme ?


Le rapport Benchmark 2007 d'affstat sur l'affiliation web révèle un résultat très intéressant :

Plus le nombre d'affiliés est réduit, plus le taux de conversion est important. Ceci suppose que vous devriez être très sélectif dans le choix de vos affiliés.

Helen Legatt avance, sur bizreport.com, que ce constat peut être dû à une bonne qualité des affiliés, et à la présence de plus en plus affirmée des supports publicitaires sur les blogs.

Donc, l'augmentation des taux de conversion pour les annonceurs n'est pas nécessairement liée à un réseau d'affiliés très étendu. Les "affiliates managers" maintiennent des réseaux d'affiliés plus restreints qu'auparavant. En effet, la majorité des répondants (37%) assène avoir 500 affiliés ou moins, 24% ont donné la même réponse l'année dernière. Le taux de conversion moyen est de 1.6 à 2 %.

Ce n'est pas la quantité qui compte !


La question qui se pose quel est le nombre d'affiliés suffisant pour mon programme ?
Joel Gehman (2000) confirme que plusieurs annonceurs ont voué à l'échec parce qu'ils se contentaient de mesurer le nombre d'affiliés afin d'évaluer la bonne santé de leurs programmes.

A la fin 1999, Forrester research avait compté la moyenne des affiliés par programme. Le chiffre retenu est 10 500. Amazon, à lui seul, comptait 300 000 affiliés.
Parfois, votre base d'affiliés continue à s'élargir jusqu'à ce que vous perdiez contrôle, et vous n'êtes plus capable de convertir vos nouveaux éditeurs en affiliés actifs ou super affiliés.
Là vous devez prendre des mesures différentes : changez de structure de rémunération et être de plus en plus sélectif dans vos choix d'affiliés, segmentez vos affiliés.

Il y a ceux qui même disent : vous ne devez pas dépasser les 100 affiliés.

Quand est ce qu'alors s'arrêter?


Vous devrez vous arrêter au moment où vous n'êtes plus capable de maîtriser ou de gérer vos affiliés, vous n'avez plus le temps à leur accorder, tous, votre attention, vous n'avez plus les ressources nécessaires pour les aider à dynamiser votre programme ou à satisfaire les besoins de leurs visiteurs qui seront renvoyés vers vous.

Que faut-il faire ?


Tout d'abord, il faut que votre base d'affiliés soit nettoyée régulièrement. Commencer par les affiliés qui ne vous rapportent rien et ne font aucun effort pour vous générer des gains ou du trafic qualifié. C'est un processus à suivre tout au long de la durée de vie de votre programme.
Ensuite, adoptez une stratégie de recrutement sélective et affiner le ciblage des nouveaux affiliés. N'oubliez pas vous êtes toujours en quête d'apporteurs d'affaire, mais vous devez récompenser ceux qui sont déjà très actifs.
Le nombre que vous allez maintenir dépend en grande partie de votre expérience dans l'affiliation web. Si vous êtes un chevronné des programmes d'affiliation, vous pouvez vous permettre un nombre plus large d'affiliés.

Quels indicateurs de l'état de santé de votre programme?

Il y a ce que l'on appelle les "current affiliates"(affiliés courants). C'est le nombre total d'affiliés qui génèrent des impressions. En absence du nombre d'affichages, ce sont les affiliés qui ont générés des clics mais pas nécessairement une transaction.
Parmi ces affiliés, il y a ceux qui génèrent un ratio: nombre de clics /nombre d'impressions assez élevé. Dans le cas contraire, le nombre d'impressions pourrait être important mais aucun clic n'est comptabilisé. C'est là que vous devez vous posez des questions? Un changement de l'emplacement de la bannière pourra faire toute la différence.

Un autre indicateur est celui de nouveaux affiliés. Si de nouveaux webmasters ne sollicitent pas votre programme, alors considérez ce fait comme un signe de danger car les affiliés quand ils n'apprécient pas ce qu'ils voient, ils n'adhéreront pas.

De même s'il y a des affiliés acquis qui fuient votre programme soit parce que la concurrence leur propose des conditions meilleures (débauchage de vos affiliés). Même, si vos partenaires décideront d'y rester, vous allez perdre des points en termes de positionnement publicitaire. Soit parce que vous n'animez pas votre réseau convenablement et que votre approche de motivation est à revoir.

Maintenant, les affiliés actifs et les super-affiliés sont des bons indicateurs d'un programme d'affiliation. Les premiers transforment les clics en transactions et les seconds obéissent à la loi de Pareto 20% des affiliés génèrent 80 % des ventes ou du trafic qualifié. Bien sûr, tout est tributaire de l'objectif poursuivi par la mise en place de votre campagne.


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Articles liés

10 astuces pour mettre sur pieds votre programme d'affiliation.




jeudi 4 octobre 2007

Le Co-enregistrement : une forme de l'affiliation Web

Le Co-enregistrement ou Co-inscription, en anglais "Co-registration" permet à un éditeur de proposer à l'internaute non seulement l'inscription à la newsletter ou son offre mais aussi à celles des partenaires annonceurs. De ce fait, les affiliés augmentent leurs revenus grâce à ce modèle d'affiliation et offrent à leurs visiteurs un contenu qui peut les intéresser. De plus les visiteurs ne quittent pas le site de l'éditeur, un peu comme dans la marque blanche.
Quant aux annonceurs, ils obtiennent une liste opt in et une base de données qualifiée.
La rémunération repose toujours sur le principe de la performance, l'annonceur ne paie que lorsqu'un internaute s'inscrit (le lead). On peut pousser la performance encore plus loin en rémunérant les affiliés que pour les e-mails valides.
Le principe paraît très séduisant à la fois pour les annonceurs et les éditeurs. Ce qui reste à faire, c'est développer les outils de tracking et de reporting adéquats.

mercredi 19 septembre 2007

Le duel acquisition Google vs Yahoo


Les deux mastodantes des moteurs de recherche renforcent leur position sur le marché publicitaire par des acquisitions stratégiques.
Après que google a racheté YouTube pour 1.65 milliard de dollars et DoubleClick pour 3.1 milliards de dollars (avril 2007), Yahoo rachète à son tour la place de marché publicitaire RightMedia (octobre 2007) pour 680 millions de dollars et il vient de racheter un des principaux réseaux américains du marketing à la performance : Bluelithium.
Le réseau publicitaire Bluelithium repose sur une base de données de 145 millions de consommateurs, et il a pu développer une technologie poussée permettant aux annonceurs de cibler les consommateurs en fonction de leurs centres d'intérêt.
En juillet 2007, Bluelithium est classée 5ème parmi les plateformes d'affiliation américaines derrière advertising.com, valueclick, google ad net et tribal fusion, avec 119.476 millions de visiteurs uniques.
Maintenant, reste à voir si Yahoo réussi à regagner du terrain perdu face à google en combinant son audience et sa technologie avec celles de Bluelithium.

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Articles liés :

L'affiliation à la manière de Google

Pourquoi Google a racheté YouTube pour 1.65 milliards de dollar ?

jeudi 13 septembre 2007

Le marketing viral est plébiscité par les français

Une étude profiling, vague 1- 2007, menée par Ipsos Media démontre que le viral est approuvé par les internautes français :

  • 11 % des internautes font suivre une publicité vidéo à leurs proches.
  • 21 % informent leurs proches d'un produit ou service actuellement commercialisé en ligne.
  • 23 % laissent des commentaires.
  • 24 % évalue ou note l'achat en ligne.
  • 67 % des internautes réalisent souvent ou de temps en temps l'une des 4 démarches citées ci dessus.

Méthodologie
62 600 internautes de 15 ans et plus.



mercredi 5 septembre 2007

10 astuces pour mettre sur pieds votre programme d'affiliation



En vu de réussir votre programme d'affiliation vous devez mettre en oeuvre ces 10 commandements :

  1. Donner à vos affiliés les raisons pour lesquelles ils doivent joindre votre programme : votre taux et délai de conversion, votre CA provenant de l'affiliation, les gains des Tops 10 affiliés, offrir des supports et des formats pubs adaptés à chaque affilié afin d'assurer une meilleure intégration...Bref, faites de sorte que votre programme soit meilleur que les autres. Tous les mérites de votre programme vont être décrits d'une manière concise et éloquente.

  2. Soyez disponibles pour vos affiliés : vous devez répondre aux besoins de vos affiliés en information ou réclamation. Répondez immédiatement à leurs e-mails ou au moins dans les 24 H. Et, si vous êtes trop débordé, essayez tout d'abord de vous organiser pour trouver un peu plus du temps à y consacrer, ensuite la deuxième solution est de paramétrer des e-mails renseignant vos affiliés sur le délai de votre réponse, ils apprécieront ce geste c'est toujours mieux que vous les ignorez carrément. Les envois seront faits automatiquement.

  3. Evitez les communiqués de presse : tout simplement parce qu'ils ne vous apportent rien, à moins que vous adoptiez une approche proactive pour parler des nouveautés dans votre activité.

  4. Vous devez maîtriser un minimum d'HTML : c'est histoire de vous mettre un peu dans la peau de vos affiliés et essayer de les aider lorsqu'ils rencontrent par exemple un problème d'intégration.


  5. Chouchoutez vos super affiliés : Vous savez l'affiliation, aussi, obéit à la règle de Pareto 20/80. En effet, 20 % des affiliés génèrent 80 % de ventes ou du trafic "affiliés". Il s'agit effectivement des super-affiliés aux quelles vous devez prêter une attention délicate : vous devez répondre à tous leurs besoins, demander leur avis et en tenir compte, prévoyez des rencontres physiques personnelles, n'hésitez pas à leur offrir des cadeaux pendant les fêtes.


  6. "Les marchés sont des conversations", écoutez vos affiliés : pour savoir ce que vos affiliés attendent de vous, il suffit de leur demander, c'est aussi simple que ça. Il n'y a pas de réponse standard à la question : Qu'est ce qui rend les affiliés heureux ? En fait, chaque programme est spécifique. Toutefois, il y a des solutions générales telless qu' une bonne structure de commission, comptabilisation des ventes post-clics ou indirectes qui s'effectuent dans un délai prédéfini (15 j ou 30 j ...).


  7. Ecrivez sur les toits que vous avez un programme : le meilleur moyen est de joindre une plateforme d'affiliation, ainsi qu'une majeure partie des efforts de recrutement est éliminée puisque la plateforme met à votre disposition un réseau d'affiliés pré-établi. De plus, ces affiliés sont attirés par les commissions secondaires pour faire adhérer d'autres (filleuls). Ensuite, vous avez le SEO comme véhicule de promotion de votre programme. Vous avez aussi les Forums : vous devez tout d'abord tisser des relations favorables avec les membres en étant actif et participatif, par la suite pensez à donner de la visibilité à votre programme. Suivez une approche incrémentielle, si vous pensez dès le début mettre en exergue votre programme ça va être une intention saillante et personne du forum ne donnera de l'importance à votre programme. Autres outils pour communiquer votre programme: le Blog. Vous pouvez même créer une page web sur votre site ou même tout un site décrivant votre programme, donnant des conseils aux affiliés...


  8. Faites de la Pub pour recruter des affiliés : utilisez les liens sponsorisés et les annuaires des programmes d'affiliation.


  9. Coopérez avec d'autres affilieurs : ça peut vous sembler bizarre, mais c'est efficace. Si vous tenez périodiquement une newsletter et vous souffrez d'un encours de contenu, et bien vous pouvez échangez quelques textes avec d'autres affilieurs.


  10. Offrez des commissions VIP : consacrez une part de votre budget pour des commissions élevées dédiées à la crème de vos affiliés.
En fait, il y a une 11 ème astuce que je n'ai pas mentionné : appliquez toutes les astuces précédentes, et soyez sûr que votre programme évoluera très bien.

mardi 28 août 2007

L'affiliation à la manière de Google "Des Pubs insérées sur les vidéos YouTube"




Et,
on se demandait pourquoi Google a tablé gros sur YouTube ! Voilà tout est clair maintenant, google savait bien ce qu'il faisait lorsqu'il a investi 1.65 milliard de dollars il y a près d'un an dans l'acquisition du site communautaire YouTube. Le géant du SEO maîtrise bien le modèle d'affaire de la pub en ligne. Aujourd'hui, il confirme sa dominance en se servant du leader du partage de vidéos en ligne :YouTube.
Ce dernier, depuis 21 août 2007, insère sur les vidéos de ses partenaires un bandeau publicitaire flash, semi-transparent. Cette pub disparaît automatiquement dans 10 secondes si l'internaute l'ignore. En revanche, si celui -ci clique sur le bandeau la vidéo en cours sera interrompue pour laisser place au spot publicitaire. L'internaute pourra mettre fin à cette pub à tout moment en cliquant sur la croix de l'extrême droite de la fenêtre de la pub. Une fois fermée, la vidéo initiale reprend son cours.

La rémunération
Google rémunérera ses annonceurs au CPM qui est fixé à 20 $.

Google se soucie de la réputation de ses annonceurs
A l'heure actuelle YouTube n'insère les pubs que sur les vidéos fournies par ses partenaires crédibles : NBC, Forbes, etc. Un spot sur une vidéo piratée sera sans nul doute de mauvais effet sur l'annonceur.


Voir un exemple de spot sur
http://tv.affiliatetip.com/item/7HWHS63T15B64CVL


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Article lié


Digg!




dimanche 19 août 2007





Le Coût Par Clic (CPC) indispensable pour les marketeurs de l’affiliation


Moins de 20 % des internautes poussent leurs investigations jusqu'à la troisième page, 70 % s'arrêtant eux à la trentième réponse.
L’une des préoccupations majeure des e-marketeurs est de s’offrir la première position dans les résultats des moteurs de recherche et d’y rester. Plusieurs d’entre eux comptent sur le coût par clic pour atteindre cet objectif.
Le CPC comme outil dans votre boîte à outils marketing pourra vous aider à obtenir ce que vous recherchez que ce soit du revenu ou des informations sur votre cible.
Il pourra bien vous servir à long terme.
Ceci est vrai si vous venez de lancer votre affaire en ligne et vous souhaitez que votre site soit connu dès qu’il est mis en ligne.
C’est aussi vrai, si vous avez déjà atteint un niveau de succès acceptable et vous avez quelques euros supplémentaires à dépenser, alors vous êtes entrain de chercher des moyens pour accroître vos revenu encore plus.
Et, ceci est toujours vrai lorsque vous avancez à pas de tortue et vous avez besoin d’un coup de pousse pour booster vos efforts marketing.
Quelque soit votre situation ça vaut la peine de consacrer un peu de votre temps pour réfléchir au CPC.
C’est Overture (aujourd’hui Yahoo Search Marketing) qui a été à l’origine du CPC, en 1998, en vendant des espaces publicitaires aux annonceurs sur un moteur de recherche (liens sponsorisés) avec le système d’enchères sur les mots clés.
Ensuite, il y a eu d’autres moteurs de recherche qui appliquaient la même procédure, la plus connue google Adwords. Aujourd’hui, on s’oriente plus vers les liens sponsorisés contextuels (Google adsense).

Comment ça fonctionne en pratique ?

Un annonceur ouvre un compte chez un moteur de recherche (Google Adwords, Yahoo Search Marketing) et commence à enchérir sur un mot clé ou un ensemble de mots clés. Le coût par clic est généralement dans l’intervalle de 1 à 25 cents. Mais, certains annonceurs peuvent payer plus.
L’annonceur le mieux disant, qui propose le coût par clic le plus élevé verra son annonce au top de la première page du moteur de recherche, et à chaque fois qu’un internaute clique sur un lien publicitaire de l’annonceur, ce dernier paie son affilié le coût pour lequel il a remporté l’enchère.
Maintenant, vous vous dites c’est facile, je vais donc ouvrir un compte chez google et commencer l’enchère, mon site sera dans la première page.
Et, bien ce n’est pas aussi facile qu’il paraît être, avec les liens sponsorisés vous pouvez gagner une bataille mais perdre la guerre, et vous devez vous imposer à l’esprit que le fait d’enchérir ne suffit pas, il fallait que les internautes cliquent sur votre annonce et ces clics se convertissent en achat.
Une campagne de coût par clic réussie est celle qui repose sur un objectif spécifique, ciblé.

Les règles de l’art du marketing de l’affiliation CPC

1- recherchez des mots clés pertinents

Le choix de mots clés est primordial pour une campagne de lien sponsorisé.
Ça ne veut pas dire que vous allez opter pour des mots clés dont le nombre de requêtes est trop élevé, surtout, si votre site est récent. Pour ce type de mots clé, le CPC sera top élevé et vous allez de toute façon perdre l’enchère, parmi les poids lourd du secteur.
Vous pouvez encore compter sur des mots clés ou des combinaisons de mots clés moins pertinents mais qui répondent aux attentes de votre clientèle cible.

2- Ecrivez votre contenu

Le contenu de votre annonce est crucial. Vous devez donnez une raison aux internautes pour cliquer sur votre lien publicitaire. N’oubliez pas, vous n’avez que quelques lignes pour transmettre le message ou l’image que vous voulez donner de votre entreprise ou de votre produit. Vous devez être bref et perspicace.
Conformez vous aux préférences des moteurs de recherche (Google n’apprécient pas trop de superlatifs).
Concentrez vous sur votre offre et utilisez le procédé de landing page, n’utilisez pas votre page d’accueil lorsque celle-ci n’est pas directement liée à votre annonce vous risquez de distraire vos visiteurs.
Veillez à ce que les mots clés employés dans votre texte correspondent aux mots clés sur les quels vous avez enchéris.

3- Fixez votre enchère

La situation idéale est celle lorsque le prix que vous proposez soit supérieur de 1 cent par rapport à la deuxième meilleure enchère. Ceci requière un suivi permanent de votre part.
Certains experts vos conseillent d’être juste dans le top 3 des liens sponsorisés, et laisser les internautes faire le reste. Avec une bonne description vous générez un nombre important de clics qui incite google à vous poussez à une position meilleure et pourquoi pas la première, que vos concurrents ont payé cher.
Vous pouvez perdre votre position parce qu’un concurrent a donné un prix meilleur que le votre.
Vérifiez toujours votre position par rapport aux autres tout en s’assurant que votre CPC est rationnel. N’hésitez pas à le baisser si, les autres sont loin derrière. Ainsi, vous payer moins et vous maintenez toujours votre position.
Quelque soit votre situation, vous devez fixer un budget pour enchérir sur les mots clés et essayer toujours de rester fidèle à ce budget, à moins que vous voyez une logique à ce que vous dépensez plus.

4- Contrôlez la position de votre annonce

Au moins chaque deux ou 3 semaines vérifiez la position de votre lien. Vous devez vous poser les questions suivantes :

o A quelle position se trouve mon lien actuellement ?
o Est ce qu’il est à la place que j’attends avoir ?
o Quel est le taux de clics sur mon lien ? Un taux de clics insuffisant pourra reculer votre position sur le moteur de recherche.

5- Traquez les conversions plus que les clics

Le CPC n’est pas une question de clics, mais plutôt de conversion ou transformation en toutes ses formes, qu’il s’agit de capturer des données clients ou de produire des revenus.
Vous devez vous demander si l’internaute qui a cliqué sur votre annonce accepte votre rapport viral en échange de son adresse e-mail ? Est-ce qu’il est entrain de tirer avantage de l’offre que vous lui proposez ?

En résumer, la publicité reposant sur les liens sponsorisés peut ne pas être coûteuse si vous :

o vous concentrez sur votre objectif
o Ciblez vos mots clés et consacrez votre budget sur des mots clés qui répondent à vos visiteurs et qui ne vous mettent pas dans le même champ de bataille que vos gros concurrents.
o Déployez une campagne à court et à moyen terme.

mardi 14 août 2007

L’affiliation est elle aussi vétuste que la publicité en ligne ?

La réponse à cette question relève de la controverse: publicité en ligne classique et affiliation web qui est issue du principe de la performance.

Certains font la distinction entre affiliation et publicité en ligne "classique". Ils refusent catégoriquement que la pub en ligne soit de l’affiliation.

La différence, selon eux, est que la publicité en ligne classique repose sur les rémunérations CPM (coût pour mille affichages) et coût pour clic. Ces types de rémunérations ne sont pas conformes au marketing de la performance, l’essence même de l’affiliation.

De l’autre côté, certains considèrent que l’affiliation est la complémentarité entre les bandeaux, dont le but est d'accroître la notoriété et l'audience, et les partenariats commerciaux, fondés sur la performance.

Dans les deux cas, l’affiliation n’est qu’une évolution de la publicité en ligne qui s’est aussi traduite par une évolution des types de rémunération.

Toutefois, la notion de la performance doit être éclaircie. Est-ce qu’elle est réalisée parce qu’un acte a été accompli comme il a été mentionné dans la définition de March(1) ou bien en termes de retours (ventes).

Si on se place dans le cas de l’acte le problème est résolu il n’y a pas de différence entre la publicité en ligne classique et l’affiliation de point de vu performance. Par contre, si on se place dans le deuxième camp ceci n’est plus vrai.

Il faut noter que chaque programme d’affiliation a ses propres objectifs, et en fonction des objectifs visés les critères de performance seront dégagés que ce soit l’affichage, le clic, le lead ou la vente. C’est en cette raison que je partage l’avis du courant qui voit que l’affiliation est la complémentarité entre les bandeaux, dont le but est d'accroître la notoriété et l'audience, et les partenariats commerciaux, fondés sur la performance.

L’affichage ou le clic sont bien des critères de performance dans le cas d’une campagne menée pour construire ou renforcer l’image de marque d’une entreprise mais ça ne sera pas le cas pour un programme qui a l’accroissement du CA en ligne de mire.

La performance signifie, en général, que la rémunération proposée est proportionnelle au résultat obtenu. Sauf que dans le premier cas la notoriété est difficilement quantifiable en terme monétaire contrairement à la vente, de plus pour la vente le taux de transformation est facilement perçu. C’est de cet angle que ceux qui boycottent la publicité en ligne classique (CPM ou le clic) ont défini l’affiliation.

D’ailleurs, même dans un programme qui vise à augmenter les ventes l’affilieur bénéficie toujours de l’accroissement de sa notoriété du fait que l’affilié affiche sa marque. Alors, c’est un manque à gagner par l’affilié.

Il faut peut être donner deux types de performance pour l’affiliation : La performance à l’acte et la performance aux retours (quantifiable). Ici la rémunération mixte (vente, autres) combine les deux.



(1) « L’affiliation est la relation qui lie un annonceur et le site d’un éditeur. Relation par laquelle le site éditeur accepte de faire la promotion du produit ou service offert par l’annonceur en contrepartie de quoi l’annonceur rémunère l’éditeur en fonction de ses résultats. L’annonceur définit le montant et l’acte qu’il souhaite rémunérer : nombre d’internautes envoyés par l’éditeur vers le site de l’annonceur, nombre de prospects générés par l’éditeur, nombre ou volume de vente». (March, 2004)


vendredi 3 août 2007

Les blogueurs réussiront- ils dans leur nouveau métier "affiliation"?

Tout d'abord laissez moi réctifier une chose : l'affiliation web est bien plus qu'un métier c'est une stratégie marketing pensée dans laquelle tous les acteurs (affiliés, affilieurs, plateforme d'affiliation) doivent faire part.

Avant d'aller plus loin, il faut avancer quelques définitions :

  1. L'affiliation :
Il s'agit d'un partenariat gagnant-gagnant entre un site annonceur (affilieur) désirant promouvoir ses biens et/ou services et un site éditeur (affilié) proposant de l'espace publicitaire contre une rémunération qui peut être au clic, au double clic, à l'affichage (capping), au formulaire (lead), une commission sur les ventes ou une rémunération mixte (combinaison de deux ou plusieurs types de rémunérations précédemment citées).
Ce partenariat est concrétisé par un contrat (programme d'affiliation). Dans ce programme l'annonceur (affilieur) met à la disposition de son affilié des supports publicitaires (bannières, liens textes...) pour qu'il les intègre dans son site afin de rediriger ses visiteurs vers le site de l'affilieur.

2. Une plateforme d'affiliation :

Elle a le rôle de rapprocher entre les affilieurs et les affiliés. Elle permet à l'annonceur de gérer plusieurs programmes à partir d'une interface unique et de procéder à un seul paiement.
Techniquement, il s'agit d'une solution logicielle accessible en ligne.
La plateforme offre aux annonceurs et éditeurs affiliés des outils de tracking et de reporting (statistiques) pour qu'ils puissent suivre l'évolution des transactions (nombre de clics, volume des ventes,etc.)

J'aimerai bien tirer votre attention sur le fait que les affiliés peuvent être des personnes morales ou des personnes physiques. Dans ce billet, je vais m'intéresser plutôt à la deuxième catégorie des affiliés.
par personnes physiques j'entends les Blogueurs (nous).

Aujourd'hui, les nouvelles tendances du marketing ont supplanté le one to one pour faire du client un partenaire privilégié de l'entreprise.
Les marques impliquent de plus en plus leurs clients dans la vie de la firme.
A travers le web on ne cesse de parler du marketing collaboratif, de prescriptions et recommandations...
Cependant, les revenus publicitaires pour les blogueurs restent infimes.
Les enseignes sont conscientes du pouvoir influent des blogueurs. Toutefois, cette activité doit être organisée d'une manière différente que celle s'adressant aux personnes morales, et faire l'objet d'un crénau à part entière dans le but de mettre plus en exergue l'intérêt que porte les annonceurs aux blogueurs.
En fait, c'est la solution qu' a adopté publicis qui a lancé au début juillet 2007 sa plateforme communautaire baptisée BlogBang pour faire des blogueurs les meilleurs amis des annonceurs.
Cette plateforme leur permet de gérer leur activité publicitaire en ligne.
Les affilieurs sont des marques bien réputées ( SFR, Renault, paramount, inrocks, Garnier, WWF).
Publicis va encore plus loin en permettant aux internautes de créer de la publicité pour les marques qu'ils préfèrent. Une fois la pub créée est approuvée par la marque concernée, elle sera disponible pour la diffusion par les blogueurs.
Le blogueur et le créateur ont tous les deux droit à une rémunération à l'affichage ou à la visualisation (le visiteur déclenche la lecture de la pub pour une durée minimum de 2 secondes) de la part de l'annonceur, avec
paypal comme moyen de paiement des affiliés .

La plateforme BlogBang compte aujourd'hui 814 affiliés, et elle a eu 22 millions de pages vues quelques semaines après son lancement.

A mon avis pour que ce type de projet réussisse, il faut cibler les publicités en fonction du contenu du blog et de ses visiteurs. Il sera intéressant si les annonceurs ou BlogBang communiquent des kits de formation concernant les emplacements publicitaires, le conflit entre publicité et ergonomie pour les aider à optimiser et rentabilizer leurs espaces publicitaires.

www.01net.com
www.web-affiliations.com (pour comprendre l'affiliation)
www.abc-netmarketing.com



dimanche 22 juillet 2007

E-Pub vs Pub TV


Une étude conduite par l'institut Millward Brown auprès de 3000 personnes dans le cadre de visionnage d'un programme télévisé en ligne révèle l'impact de la pub internet par rapport à la pub TV ou visionnée sur un DVR.
Cinq aspects ont été traités :
  1. L'attention
  2. La mémorisation
  3. La notoriété
  4. L'attitude
  5. L'intention d'achat
Nous allons voir ces aspects cas par cas :

  1. L'attention
Les résultats ont montré que 46 % de l'audience prêtent de l'attention à la pub lorsqu'elle est diffusée en ligne contre 30 % lorsqu'elle est passée à la télé en direct et 21 % sur DVR différé.
Aussi, les personnes ayant regardé la pub sur internet sont à 53 % plus attentifs que les téléspectateurs ayant visionné la pub sur la télé en direct.
Le taux de personnes qui quittent la pièce au moment de la diffusion de la pub est d'autant plus important dans le cas de la pub TV (18 %) que dans le cas de pub en ligne (6 %).

2. La mémorisation:

Les résultats sont déconcertants. 93 % des internautes associent la marque à la pub vue contre 70 % des téléspectateurs en direct et sur DVR.
Parmi les explications apportées est que la pub sur internet entrecoupait un programme 3 à 6 fois et que pendant la coupure il n'y a pas d'autres pubs diffusées. Alors qu'à la télé la pub n'est diffusée qu'une seule fois au milieu d'autres spots publicitaires.

3. La notoriété :

Le taux de notoriété d'un programme sur internet est de 82 % contre 54 % pour la télé.

4. L'attitude :

44 % des internautes déclarent avoir une bonne attitude vis à vis de la marque qui a eu recours à l'e-pub. A l'encontre, seulement 35 % pour la pub TV et 36 % pour celle visionnée sur DVR.

5. L'intention d'achat :

Le taux d'intention d'achat suite à une exposition à une publicité en ligne dépasse de 10 points celui réalisé suite à une exposition aux autres supports (TV en direct : 37 % et DVR : 37 %).

En conclusion, ces données confirment que la publicité en ligne est plus efficace que la publicité diffusée à la télé en direct en termes d'attention, mémorisation, notoriété, attitude et intention d'achat.
Efficacité comparée d'un film publicitaire en TV, online et sur DVR

dimanche 15 juillet 2007


Le Marketing viral



Rebecca Lieb dans son article "how to influence the influencer" publié le 1 juin 2007 sur www.clickz.com , met en exergue l'importance du marketing viral (Word Of Mouth marketing).
Le concept de prescripteur est vétuste, seulement l'amplification du réseau des prescripteurs à travers le web a rendu l'équation beaucoup plus complexe. Les blogs , les forums et les sites de partage des vidéos en ligne font partie de cette équation. Les prescripteurs drainent des milliards de dollar pour les firmes qui ont su construire des communautés virtuelles autour de leurs marques.
Une étude conduite par yahoo révèle qu'une prescriptrice qui vante les qualités de sa nouvelle voiture a au moins une amie qui effectue le même achat, autour de 718 000 $.
Pour les produits électroniques, les chiffres sont plus faramineux. Un achat de 300$ génèrent 1,6 millions de dollar de marchandises, grâce aux prescripteurs. Les moins actifs réalisent autour de 570 000 $.
CompUS, lorsqu'elle a intégré la solution Bazaarvoice ratings and reviews, une solution de commerce social (opinions et témoignages clients), dans ses fiches produits son taux de conversion a augmenté de 60% plus important que celui des campagnes de mots clés.
71% des cyberconsommateurs lisent les témoignages des clients (Forrester).
77% des acheteurs en ligne consultent les opinions clients durant leur processus d'achat (Jupiter research, août 2006).
La présence des espaces d'opinions ou témoignages clients est importante dans 81% des cas (CompUSA & iperceptions study).
Finalement les opinions clients entraînent une augmentation de la satisfaction de 21% et une croissance de la loyauté de 18%. (Foresee Results Study, Janvier 2007)
http://www.bazaarvoice.com/stats.html


mercredi 11 juillet 2007


Pourquoi Google a racheté YouTube pour 1,65 milliiard de dollars?


YouTube est le leader de la vidéo en ligne avec 46% de part de marché.
Vous croyez que c'est suffisant pour inciter google à y investir une grosse somme de 1,65 milliard de dollars. Ce choix doit émaner d'une stratégie bien réfléchie.
Gérard Clech http://www.lavienumerique.com/ nous donne une explication :
Conscient de la portée que présente la e-publicité vidéo, google a acquis le leader du marché malgré les problèmes que celui ci rencontre quant aux droits d'auteur.
Google n'aceptera pas que ces annonceurs aillent ailleurs quand la publicité vidéo débarque sur internet.






samedi 7 juillet 2007

Pourquoi la majorité des visiteurs d'un site web marchand quitte le site sans avoir acheté de produits?


Le printemps 2006, Marketing Sherpa a mené une enquête auprès de 1120 consommateurs actifs en achats en ligne, afin de répondre à la problématique suivante:
Pourquoi plus que 90% des consommateurs qui visitent un site web marchand quitte le site sans avoir acheté de produits ? (Anne Holland, Présidente de Marketing Sherpa,le 29 May 2006)

L'enquête a porté essentiellement sur les deux questions ci après :
  1. Sur quels critères de choix de site e-commerce, se basent les consommateurs ?
  2. Quels sont les facteurs susceptibles de décevoir un acheteur en ligne ?
Les résultats de la recherche ont révélé que le fait que le cyberconsommateur se trouve face à un processus de validation de panier compliqué ne constitue pas un facteur qui endigue son achat en ligne (14% des répondants). Contrairement aux partage des données personnelles (53%) , fraudes et usurpation de l'identité (49%), et les conditions générales de ventes (41%).
Encore plus intéressant, le découpage des données montre que les gros marchands en ligne sont les moins concernés par les fraudes. En effet, l'ajout des icônes de sécurité
sur un site e-commerce augmente significativement le taux de conversion. Ceci est même vrai pour des sites très populaires.
Une autre étude menée en 2006 par la même enseigne, auprès de 1100 commerçants en ligne montre que le taux moyen d'abandon de paniers est de 59.8 % (le nombre total de consommateurs qui ont accompli leurs achats divisé par le nombre de consommateurs qui ont rempli leurs paniers).
On a aussi constaté que l'expérience influence le taux d'abandon. Un acheteur expérimenté a plus de confiance et il est plus enclin à faire ses emplettes sur Internet.

Bien sûr, certains facteurs échappent au contrôle des boutiques en ligne.
Certains consommateurs se rendent sur un site web marchand non pas dans l'intention d'acheter mais c'est juste pour comparer des articles, Prix, préparer leurs achats en ligne (avoir des informations sur les produits, l' adresse du magasin physique le plus proche , etc. ) ou tout simplement pour simuler une opération d'achat.
Encore, il faut creuser un peu afin d'identifier les raisons qui poussent vos chalands à quitter votre site.
Pour cela, vous devez savoir à quelle page exactement ils s'enfuient. A quoi c'est dû ?
Dans ce cas, les outils de mesure d'audience se présentent comme une solution en vu de déceler les anomalies de votre site.

"Mais, la seule chose évidente qui garantie l'augmentation de vos ventes est de demander à vos clients ce qui ne va pas
! " (Anne Holland, Présidente de Marketing Sherpa, le 29 May 2006).